« Le mur donne la parole à cette part de l’homme qui sans lui serait condamnée à demeurer sans voix. Dans chacun de nous continue à survivre, en marge de la civilisation et les malgré les interdits de l’éducation une vie psychique clandestine, étouffée, et les débris de formes archaïques dont le mur est peut-être un des plus fidèles miroirs. L’art des graffiti est notre art primitif, à nous, civilisés. »
Brassaï, in Préface pour le catalogue de mon exposition de graffiti à Londres (25 septembre – 25 octobre 1958)